Archives de la catégorie : Humeur

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Les pseudos sur le web saymal ?

Je voudrais ajouter mon grain de sel à l’article de +Christophe Lefevre concernant l’anonymat et le fait que les pseudos ne seraient plus adaptés à l’ère du Personal branding. Une bonne et saine gestion de sa réputation sur le web passerait forcément par l’utilisation de son patronyme dès lors qu’on devient adulte, exceptions faites des cas de force majeure : ne pas impliquer son entreprise et ne pas s’afficher ouvertement comme utilisateur de préservatifs Small Size dans les commentaires laissés chez Dur3x 😉

La stratégie de Twitter en trois quatre slogans

Les slogans associés à une marque en disent long sur les stratégies mises en oeuvre et le public visé. Ils en disent aussi beaucoup sur la manière dont la marque voit son public. En s’arrêtant sur ces «mots d’ordre», on peut se faire une idée assez précise de l’utilisateur idéal. Pour Twitter, il est passé d’un individu d’abord centré sur lui-même, puis ouvert aux autres, pour finir avachi sur son canapé, un smartphone dans une main et la télécommande de la TV dans l’autre ! 

Création de contenu pour le web : évitons le F(uck)-Commerce

Quelle différence y-a-t’il entre la création de contenu pour les PME et pour les grands compte ? A première vue aucune, si ce n’est que la création de contenu coûte cher et que les PME ont à-priori moins de moyens que les grandes entreprises. Nonobstant, le temps que j’ai passé sur le web ne m’a jamais démontré que les contenus publiés sur les sites des grandes entreprises soient de meilleure qualité. C’est souvent même le contraire : là où la PME s’exprime souvent avec ses tripes, le grand compte a depuis longtemps laissé les rênes de sa communication à des vendeurs de «F(uck)-Commerce», si je puis m’exprimer ainsi. Les grandes entreprises baignent toutes dans le même jus que leurs concurrents (mêmes agences ou mêmes méthodes, et mêmes supports).

Bonjour, je suis l’auteur de l’article que vous avez repris sur votre blog

Bonjour,

Je suis [Nom de l’auteur] l’auteur de l’article [Titre de l’article] que vous avez repris intégralement sans mon accord sur le blog accessible à l’adresse [URL de l’article]. Le fait de citer la source n’enlève rien au fait que les droits relatifs à cet article sont soumis au droit d’auteur. En d’autres termes, les droits sont réservés et il m’appartient d’accorder ou non la publication de mon travail aux conditions qui me conviennent — et à la tête du client si ça me chante.

Scoopit — Quand le curator il ne peut avoir raison (désolé)

J’ai découvert Scoop.it qui transforme le veilleur stratégique et technologique qui sommeille en chacun d’entre nous en jardinier de l’information, j’ai nommé : le curator ! Scoop.it propose la création d’une ou plusieurs pages thématiques pour y engranger nos dernières trouvailles. Un bookmarklet facilite la «curation» : l’ajout d’un lien s’effectue en deux clics si vous êtes pressés. Le résultat prend la forme d’une page de type magazine au nom du thème que vous avez choisi de labourer. Jetez un oeil sur Webdesigner sorte de digest du Webdesign pour l’intégrateur html & CSS.

Wikileaks, le devoir d’ingérence ou d’infogérance ?

Suite au billet Wikileaks, les bons tuyaux ? je continue mon petit bonhomme de chemin sur le thème de Wikileaks et des questions que la publication massive de documents classés peut poser en terme de transparence, de démocratie ou tout simplement d’information. Je passerais rapidement sur l’article d’Owni Wikileaks et la révolte du clergé qui montre bien comment l’ouverture d’esprit est soluble dans le microcosme journalistique. La première InfoWar ? Allons donc, il s’agit plutôt de la première TupperWar qui se déroule dans le petit blocal (contraction de local, global et bocal) dans lequel s’excitent nos nouvelles ménagères de l’information (Information Managers).

Wikileaks, les bons tuyaux ?

blockquote {text-align:left;}Suite à quelques tweets suivis d’un bref échange de point de vue sur Twitter (et comme 140 caractères ne suffisent pas toujours), Eric a eu la bonne idée de développer ses arguments concernant Wikileaks dans La transparence c’est le totalitarisme. Il parle de démocratie, de transparence, de liberté, de secret diplomatique, etc. et conclut en disant que :

[…] nos politiques ont surtout peur de devoir rendre des compte sans ménagement, ils n’y sont plus habitués. Pourtant, ne serait-ce pas le minimum à attendre dans une démocratie représentative ?

Non, le droit d’auteur français n’est pas ringard !

J’ai lu avec une pointe d’agacement l’article Echec des Creative Commons et nécessité de réformer le droit d’auteur ? paru sur Numerama. En gros, le droit d’auteur français appliqué automatiquement aux œuvres de l’esprit serait dépassé et contre-productif. Mais pourquoi donc ? J’ai toujours trouvé assez génial de constater que le législateur a prévu des dispositions permettant aux citoyens de bénéficier gratuitement d’une protection sans avoir besoin d’en faire la demande. Si vous écrivez un article sur votre blog, il suffit de ne rien ajouter concernant les droits afférents pour que ces derniers s’appliquent sans condition. Étonnant, non ?

Après le point Godwin, le point BXVI

Le point Godwin récompense celui ou celle qui vérifie la Loi de Godwin qui dit que Plus une discussion en ligne dure longtemps, plus la probabilité d’y trouver une comparaison impliquant les nazis ou Adolf Hitler s’approche de 1. Si les références au IIIe Reich m’insupportent, les références à la notion d’évangélisme en dehors du contexte religieux (pour d’autres raisons, bien évidemment) m’agacent également.

L’exposition «Kiss The Past Hello» de Larry Clark interdite aux moins de 18 ans

L’exposition de Larry Clark au Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris est interdite aux moins de 18 ans parce qu’elle montre Des skateboarders de New York au ghetto latino de Los Angeles, Larry Clark révèle, dans ses séries photographiques des années 1990 et 2000, le quotidien d’adolescents en quête d’eux-mêmes, expérimentant drogues, sexe et armes à feu. Les séries 1992, The Perfect Childhood (1993) et punk Picasso (2003), toujours issues de la culture de la rue et du rock, affirment son regard acéré sur la marginalité, telle que l’Amérique refuse de la voir. On ne s’y prendrait pas autrement si l’on voulait réserver le travail de Larry Clark aux pédophiles. A mon humble avis, il eut mieux valu interdire cette exposition aux plus de 18 ans et la consacrer à ceux qui en sont le sujet principal : les adolescents. Point.