A force de lire que la fin de l’email est proche, je me suis demandé comment tout le monde s’était passé le mot. Les coupables sont les sondages ou les études qui font état du nombre d’utilisateurs d’une technologie donnée selon des tranches d’âge déterminées.
A cet égard, il apparait que les adolescent(e)s sont peu nombreux à utiliser l’email, lui préfèrant Facebook en particulier ou les messageries intégrées aux réseaux sociaux, Live Messenger et autres GTalk en général.
Si sur le papier, il peut sembler raisonnable de faire des projections sur le long terme (si à 12 ans on n’utilise pas l’email, pourquoi s’y mettrait-on à 20 ans ?).
Toutefois, la réalité nous prouve chaque jour que l’enfance ou l’adolescence ne sont pas des états de stase et qu’en grandissant les comportements changent ainsi que les habitudes qui vont avec.
Rendez-vous dans vingt ans, même jour même heure ?
OK, rendez-vous dans 20 ans, je serai la, curieux de voir ce que nous sommes devenus.
Par contre, si tu pouvais nous envoyer un reminder par email quelques jours avant, histoire qu’on se rappelle ? Merci. 😛
La fin des mails ? j’ai du mal à le croire. Même google wave basé justement sur l’instantané et l’échange n’a pas pris. Enfin, on verra dans 20ans.
Je vois pas trop comment on pourraît se passer des emails pour le boulot en particulier.
On peut passer par Skype, FB et cie pour discuter mais pour ce qui est du boulot, d’avoir des preuves de BAT, de documents envoyés, etc., l’email reste la solution la plus simple et la plus rapide.
On a inventé le téléphone et ce n’est pas pour ça qu’on a laissé tomber le courrier, je pense qu’on peut faire la même comparaison avec l’email et les chats, les ados étaient accros au téléphone et ne s’envoyaient plus de lettres mais les entreprises elles n’ont pas arrêté.
J’ai aussi du mal à imaginer le monde sans email. En même temps, je pense qu’il y a 20 ans, les usages et les modes de raisonnement n’étaient pas non plus les mêmes.
a voir.
je pense qu’on continuera à avoir une « boite au lettres » dans 20 ans, même s’il a pris une autre forme, et même si nous y accédons pas d’autres moyens.