Tout est dans le titre. Je pense que je n’ai rien oublié mais ce qui va sans dire va encore mieux en le disant : le respect de la vie privée sur internet est important. J’ai décidé d’échanger mon bouton Like de Facebook par un bouton Faire un don de Paypal à la fin de chaque billet sur mon blog consacré au Webdesign et à l’intégration web.
Il n’y pas d’amour, il n’y a que des preuves d’amour
Jean Cocteau
En lisant les dix règle d’or édictées par l’association Lomographische AG pour les lomographes, j’ai pensé qu’elles pouvaient facilement s’appliquer à Twitter : →
Dans un monde idéal vous avez désactivé votre compte Facebook après avoir lu mon billet Boutons «Like» ou «Recommend» : Facebook à la poubelle ! Pour vous consoler, voici quelques outils permettant de remplacer un Big Brother par plusieurs Tiny Brothers (oui, il y a toujours du «brother», mais c’est plus facile de leur fout’ une taloche quand ils sont petits). →
Après les interlignages trop faibles qui nuisent à votre entourage, les billets remplis de portions plus ou moins importantes de mise en gras sont une agression visuelle proche des flashs répétés qui sont la cause de crises d’épilepsies chez les bébés phoques.
Non, mais franchement, ça sert à quoi, à part à détourner l’attention du lecteur ? A rien. je soupçonne les rédacteurs qui en abusent de mettre des bretelles en plus de la ceinture. Soyez un peu plus sûrs de vous et de l’intelligence de vos lecteurs ! Allez, enlevez-moi tout ce <b>gras</b>, c’est relou… →
Le Widget proposé par Facebook permet d’ajouter un bouton Like ou Recommend à la fin des billets pour que les lecteurs puissent montrer à leurs amis ce qu’ils aiment. C’est assez bien vu comme système : chacun enrichit son profil Facebook à peu de frais en permettant aux sites et aux blogs d’apparaitre dans les statuts Facebook de nombreuses personnes. →
Encore un critère à prendre en compte pour faire plaisir à Google. On connaissais les économies liées aux images, aux scripts, aux CSS et même au HTML, mais personne n’avait encore parlé du contenu. Il est pourtant facile d’économiser plus de 50% sur une page web. Pour cela, il suffit de […]
Les annuaires de liens existent depuis presque aussi longtemps que le web lui-même. Yahoo! a commencé comme ça et avant l’arrivée des moteurs de recherche les annuaires ont constitué un outil très efficace qui ont permis aux visiteurs de trouver du contenu en fonction de leurs centres d’intérêts. Aujourd’hui, les annuaires de lien existent toujours mais leur public a changé : c’est aux moteurs de recherche qu’ils s’adressent maintenant et in fine aux éditeurs de sites web qui trouvent là un moyen infaillible d’obtenir un lien vers leur site. Voici les quatres annuaires de liens dans lesquels j’ai inscrits css 4 design, mon blog sur l’intégration HTML, CSS et jQuery 😉 →
PDFQueen est un moteur de recherche qui utilise la recherche Google pour fournir des résultats parmi les fichiers PDF. Pratique et rapide, PDFQueen propose les dernières recherches effectuées par l’ensemble des utilisateurs et par pays. Les résultats sont légèrement différents de ceux que l’on peut trouver en utilisant la recherche avancée de Google ou avec la commande MaRequête filetype:pdf.
Ca peut paraitre bizarre, mais il semble que l’on soit toujours mal placé pour juger de ses propres pratiques. C’est en tout cas la réflexion qui m’est venu à l’esprit en testant Twoolr proposé par Antoine Guiral. Ce site permet d’obtenir des statistiques sur votre utilisation de Twitter. Une fois que vous avez autorisé l’application Twoolr à accéder à votre compte Twitter de manière sécurisée (via oAuth) vous accédez aux informations suivantes : →
Packrati.us se propose de scanner les liens que je publie sur mon compte Twitter pour les sauvegarder directement sur mon compte Delicious, ce qui me me fait économiser de nombreux clics. Il suffit de lier vos deux compte, et voilà ! Services similaires : Tweecious ou Twitlicio.us. Via Descary.com.
