Si les poèmes sont tristes, c’est que les poètes le sont et nous de même. Pour qu’un poème soit gai, vraiment gai, il faut se creuser la cervelle à coup de pétard dans l’oreille et laisser pendre la mèche, afin qu’on sache où il est, toujours. Ca ferait rire beaucoup de monde. Ce serait avec certitude un poème très gai, très réussi. Mais je n’ai pas le courage de l’écrire.
Lis mes ratures