DotClear vs WordPress #2 : un partout, la balle au centre

Ce billet est le deuxième consacré au comparatif que j’effectue entre les deux moteurs de blog que sont Dotclear et WordPress. Le premier volet de cette saga (c’est plus fort que moi…) n’avait fait qu’effleurer les choses. Quelques petites précisions pour commencer. La version 2 de Dotclear vient de sortir en beta. Pourquoi donc continuer un comparatif entre une version 2.0.3 pour WorPress et une version 1.2.5 pour Dotclear ? Je me suis également posé la question :

  • Premier élément de réponse, ces deux versions nécessitent la même configuration serveur, ce qui n’est plus le cas pour Dotclear2 qui nécessite la version 5 de PHP. C’est le point le plus important qui milite en faveur de la poursuite du comparatif entre ces deux systèmes de blog.
  • Le deuxième point consiste à se demander pourquoi — alors qu’une nouvelle version de Dotclear vient de sortir — continuer à parler de l’ancienne. La réponse est dans le premier élément de réponse : à cause des besoins spécifique de Dotclear2 en matière d’hébergement, nul doute que la branche 1.2.x de Dotclear continuera à être utilisée largement. D’ailleurs les développeurs de Dotclear ont d’ores et déjà envisagé de continuer le soutien de la version 1.2.x pendant un certain temps encore.

Revenons au comparatif. Dans mon premier billet, j’évoquais le fait que WorPress proposait un système de création de pages sortant de la chronologie. C’est toujours vrai, mais Dotclear propose la même fonction, même si cette dernière est cachée sous la forme d’un menu déroulant fort discret. Pour l’activer, vous devrez vous rendre dans modifier le billet -> plus d’options -> sélection [oui]. Et hop !

Je parlais aussi de l’avantage chez Dotclear de ne mettre que l’introduction du billet puis de cliquer sur un lien pour lire la suite de l’article. Et bien, cette option existe aussi chez WordPress. Elle est à son tour très coquine, puisqu’elle se cache sous la forme d’une icône dans la zone d’enrichissement du texte lorsqu’on saisit le billet.

Conclusion temporaire : faut pas se contenter de gratter la surface, faut creuser encore et encore 😉 Cela me permettra de revenir vers vous sur ce sujet une prochaine fois.

Un partout, la balle au centre.

PS : pour ceux qui aurait remarquer que ce comparatif ne continuait plus sur www.br1o.com qu’ils n’en déduise pas prématurément que je préfère Dotclear. C’est simplement pour continuer sur le nom de domaine que je veux mettre en avant. (Qu’est-ce qu’on ne ferait pas pour améliorer son PR ! Ben.. justement, pas ça : suceur de roue) . Pour ceux que ça intéresse, voici la définition de suceur de roue puisée chez larousse :

Suceur de roue : contrairement à ce qu’une lecture trop rapide de l’expression pourrait donner à penser, un suceur de roue n’est pas un coureur qui confond une roue de vélo avec un sucre d’orge, mais un malin qui s’exonère de sa part de travail en refusant d’assurer des relais. Le suceur de roue a mauvaise réputation. C’est un partisan du moindre effort. En revanche, « prendre la roue » d’autrui, c’est simplement se mettre dans son sillage, sans intention de s’y incruster.