L’analyse des mots-clés en provenance de Google en dit autant sur les intentions des internautes que sur le contenu de votre site ! Et ceci dans un double mouvement qui se renforce : plus votre contenu colle à la formulation des demandes des internautes, plus ces derniers auront des occasions de vous lire. C’est bête comme choux, mais pas si facile à réaliser 😉 Ce billet est la réécriture de la deuxième partie du (trop long) article intitulé Mesure d’audience : des mots-clefs au ClickRank il y a plus de 3 ans. Non seulement il n’a pas trop vieillit, mais certaines hypothèses (relation entre les résultats de recherche et les statistiques puisées dans Google Analytics) ont trouvé depuis des éléments de confirmation avec le Google Bounce Factor, notamment. →
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Bai(s)se de PageRank : au nom du PR, ainsi soit-il…
Effet vente de liens au kilo, mauvaise stratégie de cloaking lors de ma participation au concours Zobibi, tentative de donner une seconde chance aux autres moteurs de recherche ?.. Je l’ignore. Ce que je sais en revanche, c’est que – comme Carla Bruni – Google a dit « zobibi » à mon PageRank qui est passé de 5 à 3…
Ce qui fait qu’après la première baisse intervenue fin octobre, j’ai perdu 3 points de PR en moins de trois mois ^_^v. Les mauvaises langues diront que je n’ai pas caressé Google dans le sens du poil ces derniers temps, mais quand même !
M’enfin, ce n’es pas si grave. D’abord parce que depuis le temps qu’on nous annonce la mort du PageRank pour nous vendre du TrustRank (en gros, si votre petite soeur à un skyblog, ne la linker surtout pas, on ne sait jamais…), il fallait bien que ça arrive un jour.
Ensuite, la baisse de mon PageRank n’a pas vraiment d’influence sur la fréquentation du blog et le nombre d’abonnés FeedBurner ne cesse d’augmenter. Ce qui est quand même plus significatif pour juger de la bonne santé d’une ligne rédactionnelle 😉
Google, le PR fouettard !
Je twittais il y a peu que je préfèrais largement la Google Dance à la Tektonik… Mais c’était bien avant de perdre un point de PageRank, en passant de PR6 à PR5. Certains pensent qu’il s’agit d’une sanction contre les blogs ou les sites vendant leur PR au plus offrant (voire à tous ceux qui en veulent, comme ici). D’autres pensent que ce n’est qu’un ajustement sans lien (c’est le cas de le dire) avec des mesures de rétorsion à l’encontre des trafiquants de PageRank. →
7 étapes pour demander une prime de risque en qualité de trafiquant de PageRank !
Après Text-Link-Ads, LinkLift propose l’achat et la vente de liens sur les blogs. Et Google n’a pas l’air d’apprécier. Il faut dire que ce que ces sociétés vendent à leurs acheteurs de liens, c’est du PageRank en barre ! Et le PageRank, comme chacun sait, appartient à Google qui voit d’un mauvais oeil des sociétés concurrentes à son programe AdSense tirer les marrons du feu en profitant de son outil de confiance. Un formulaire est même disponible si l’on est témoin d’un achat ou d’une vente de liens à la sauvette. Ca fout les jetons. →