blockquote {text-align:left;}Suite à quelques tweets suivis d’un bref échange de point de vue sur Twitter (et comme 140 caractères ne suffisent pas toujours), Eric a eu la bonne idée de développer ses arguments concernant Wikileaks dans La transparence c’est le totalitarisme. Il parle de démocratie, de transparence, de liberté, de secret diplomatique, etc. et conclut en disant que :
[…] nos politiques ont surtout peur de devoir rendre des compte sans ménagement, ils n’y sont plus habitués. Pourtant, ne serait-ce pas le minimum à attendre dans une démocratie représentative ?