Après mes petits journaux permanents consacrés à la typographie et à HTML5, voici un numéro spécial qui fait la part belle à CSS3. Ces nouvelles propriétés proposent des effets graphiques ou typographiques à votre page Web, mais pas seulement : CSS3, ce sont aussi des sélecteurs et des pseudo-classes qui vont nous faciliter l’intégration et nous permettre de repousser encore plus loin les frontières de l’univers et au-delà ! En attendant, voici des générateurs de code CSS3 en ligne classés par propriétés ; des ressources pour vérifier la compatibilité des navigateurs et quelques liens pour faire entrer dans le rang les plus récalcitrants ; des tutoriels et des exemples de tests et d’expérimentations diverses avec CSS3 qui devraient vous inspirer. Ce guide permanent sur CSS3 contient plus d’une centaine de liens, pour commencer. →
HTML 5 Outline — Quelques notes sur la structure des pages Web avec h1 et section
Après l’article Quelques notes sur la balise h1 avec HTML5 dans lequel j’ai abordé l’utilisation des niveaux d’en-tête `h1 — h6` pour savoir dans quelle mesure il est judicieux d’utiliser une ou plusieurs balises `h1` dans une même page Web, je continue sur ma lancée avec la notion d’Outline. Cette dernière fournit la liste des sections imbriquées impliquant les éléments de type Sectioning Content ou Sectioning Root. Chaque section peut être associée à un niveau d’en-tête et peut contenir autant de sections imbriquées que l’on veut. Notez que les sections dont on parle ne sont pas nécessairement l’élément `section` lui-même (même si ce dernier fait partie des éléments ayant une portée de Sectioning Content). →
Quelques notes sur la balise h1 avec HTML5
La réponse courte à la question « Combien de balises `h1` dans une page Web HTML5 ? » est : « Autant que nécessaire ! » En gros, chaque fois que vous avez une nouvelle section, vous pouvez mettre un `h1`. D’une manière générale, `h1` accompagnera `article`, `aside`, `nav` ou `section` avec brio ! (cf. Sectioning content). Allons voir ce que nous disent les spécifications HTM5 sur l’emploi des balises de titre `h1` — `h6`, notamment les exemples concernant les niveaux de titre. Ils sont assez parlant bien que parfois déroutant lorsqu’on a l’habitude du balisage utilisé jusqu’à présent. Les éléments `h1` — `h6` représentent les niveaux d’en-têtes de leurs sections respectives. Quant à l’élément `hgroup`, il regroupe un ensemble d’en-têtes composé d’au moins deux niveaux de titre, comme un titre et son sous-titre ou un titre et le slogan associé (un bon candidat pour Logo et Motto, faute de mieux). →
8 composés HTML pour le logo et la « baseline » et leur potentiel SEO
Mon petit manifeste concernant la création des balises logo et motto dans les spécifications HTML5 n’a pas encore eu l’effet escompté. En attendant que le W3C valide cette modeste proposition, les enveloppeurs Web font preuve d’imagination. Voici un florilège de composés HTML (HTML Compound) plus ou moins sémantiques pour baliser l’identité d’un site internet. Cerise sur le SEO, j’ai demandé à Didier Sampaolo de nous dire ce qu’il pense — ou ce que Google pense — des différentes solutions présentées. @dsampaolo est éditeur du site Brave New World et consultant e-business spécialisé en référencement naturel. →
Aperçu instantané de Google, Webdesign et référencement naturel
La rédaction Web et le référencement naturel vont bien ensemble en raison du fonctionnement des moteurs de recherche qui indexent les textes depuis toujours. Il a fallu attendre 2001 pour les images en ce qui concerne Google, ce qui poussé les intégraphistes orientés SEO à mieux nommer leurs fichiers. Les visuels utilisés dans un article sont devenus un atout supplémentaire dans l’acquisition de trafic. Les textes et les images ont une incidence directe sur le référencement et le positionnement d’une page, mais ce n’est pas le cas du design, de l’apparence de cette page. Enfin, jusqu’à présent… La nouvelle fonction « Aperçus instantanés » (Instant Preview) de Google permet de prévisualiser la page de destination depuis les SERP’s, ce qui pourrait bien changer la face du Web et faire entrer le Webdesign dans une nouvelle dimension. Rien que ça. →
24 listes pour Webdesigners
Quoi de mieux (ou de pire) qu’une liste de liens résultant d’une veille technique et stratégique triée sur le volet ? Une liste de listes de liens, pardi ! Voici donc devant vos yeux ébahis, plus de 20 listes thématiques dans le domaine du Webdesign, de l’intégration Web (HTML, CSS et Javascript) et de WordPress. →
Les frameworks CSS sont le nouveau format A4
Les logiciels de création graphique proposent un menu Fichier avec une entrée Nouveau pour créer un nouveau document en réglant des paramètres comme la taille, la couleur de fond, le nombre de couleur, la résolution, etc. J’ai déjà abordé la question des paramètres par défaut pour le Webdesign dans l’article Quelques notes sur les grilles de mise en page et je me demande aujourd’hui dans quelle mesure les frameworks CSS peuvent être considérés comme l’expression des réglages de base pour commencer la création d’un site Web ? →
#WDFR — Imprimez votre grille pour dessiner vos croquis
Le dernier thème du WDFriday (#wdfr sur Twitter) était consacré aux croquis, maquettes et autres fils de fer (Wireframe) qui précèdent souvent le travail sur un logiciel de création comme Illustrator ou Photoshop. J’ai toujours un petit calepin à carreaux de 5 mm de côtés pour prendre des notes graphiques. Comme j’utilise une grille dans Illustrator bien au chaud dans un calque « grille » verrouillé, je me suis dit qu’il serait intéressant de l’imprimer en plusieurs exemplaires pour m’en servir de support. Pour les croquis, je me contente d’imprimer cette grille à 50% de sa taille réelle pour ne pas gâcher inutilement l’encre et le papier (petit geste écolo). Je réserve l’impression en taille réelle pour les maquettes grandeur nature (Mockup) sur lesquelles je peux utiliser des post-it pour placer et déplacer mes éléments à volonté. →
Frameworks CSS + Mockup = Mockup CSS
Les développeurs n’aiment pas les frameworks CSS et les graphistes n’aiment pas l’idée de travailler avec une grille de mise en page. Mais ça ne m’empêche pas de leur trouver un intérêt (aux FW, aux dévs et aux créas). Je suis certainement une espèce mutante, le chainon manquant entre les matheux (le code n’est poétique que dans WordPress ^^) et les graphistes ! Pour autant, je ne pense pas que les frameworks CSS doivent être utilisés partout ou que le design dans le navigateur remplacera votre graphiste ou votre logiciel de création préféré. Il s’agit d’une méthode de travail qui s’ajoute aux précédentes ; elle ne prétend pas s’y substituer. L’article Framework CSS — Sémantique, maquette dynamique et autres notes vous permettra de défricher le terrain sur leur utilisation et leurs avantages. →
#WDFR : les Framework CSS en ont pris «plein la grille» pendant le WDFriday
La dernière rencontre Twitter de la communauté du Webdesign francophone (WDFriday et #wdfr) était consacrée aux frameworks CSS. J’ai été surpris de voir à quel point ils semblent peu employés au regard des critiques dont il font l’objet. L’argument le plus valable que j’ai relevé est qu’un bon intégrateur Web n’a pas besoin de framework CSS. Ce n’est pas faux et c’est d’ailleurs valable pour tous les frameworks ! Un bon développeur front-end n’a pas besoin de jQuery ou de Mootools et un bon développeur Web n’a pas besoin de Symfony ou de Ruby On Rails, nous sommes bien d’accord. →