Il y a presque un an, je testais rapidement Dotclear 2. Je renouvelle aujourd’hui l’expérience. A force de comparer WordPress et Dotclear sur les dernières fonctions à la mode, j’ai finis par oublier l’essentiel : quand je vois que les fonctions d’internationalisation de WordPress ne permettent pas de localiser le front-end de n’importe quel thème sans mettre les mains dans le cambouis, je me dis qu’un produit conçu dans la langue de Molière, multi-blogs et tags ready en natif a de l’avenir ^_^ →
Installer Dotclear 2 bêta 6 et migrer depuis une version 1.2.5


La nouvelle version d’une plate-forme de blog utilisée par des millions de blogueurs est toujours un événement, et la version 2.2 de WordPress ne fait pas exception. Parmi les nouveautés, je retiens le support natif des widgets pour gérer les éléments de la sidebar par glissé-déposé, l’intégration des spécifications complètes
Pour ajouter un semblant d’interactivité aux pages web, il fallait auparavant chercher longtemps pour dénicher le bon bout de code Javascript cross-browsers qui va bien. Aujourd’hui, c’est le choix d’une librairie
Après mon petit tour sur les questions relatives à l’
J’ajoute mon grain de sel à la chaine lancée par
Pour savoir pourquoi et comment vous lisez mon blog, j’ai installé quatre scripts de mesure d’audience : Google Analytics, phpMyVisites, MyBlogLog et HitTail. Sans compter Webalizer… Ce billet est découpé en deux parties qui devaient faire chacune l’objet d’un article séparé. Or, les statistiques fournies par les outils présentés dans la partie Quatre outils de mesure d’audience sont utiles parce qu’elles fournissent des éléments objectifs et quantifiables pour faire évoluer un site : améliorer le design ou encore réorganiser les rubriques. Dans une optique de positionnement dans l’index de Google, les stats peuvent également contribuer à optimiser ce qui fait l’intérêt d’un site : son contenu. Attention à la longueur du billet qui pourrait heurter la sensibilité des plus jeunes !
L’utilisation des CSS à la place des tableaux pour concevoir une page web fait sa place dans la boite à outils du webdesigner. Or, s’il est relativement aisé de concevoir un site «full CSS» from scratch, c’est parfois un peu plus tricky de partir d’un site existant et d’en débarrasser la table. Après la lecture de ce billet, vous saurez comment j’ai divisé par deux le poids d’une page, rendu au code HTML son teint de rose, et facilité la digestion des navigateurs… tout en conservant 99% du look d’origine…
La particularité d’un bon système de publication de blog comme