C’est grâce à mes dix doigts — j’ai pris des cours de dactylo — que ce blog arbore fièrement un PR6 de bon aloi après un peu plus d’un an d’existence. J’étais plutôt content de moi jusqu’au moment où je suis tombé sur un billet très instructif sur le blog de linklift concernant le nombre de backlinks nécessaires pour obtenir un PageRank donné. →
Le premier plugin que j’ai installé sur mon blog nouvellement propulsé par WordPress a été Dofollow qui, comme son nom l’indique, supprime l’attribut rel= »nofollow » des liens présents dans les zones publiques de votre blog, en l’occurence les commentaires et les trackbacks.
Quelques sites comme Wikipédia, régulièrement spammés à cause de leur PageRank, ont mis en place cet attribut pour lutter contre les petits voleurs de PR. Bien que cet attribut n’a pas fait la preuve de son efficacité, je comprends que dans le doute certains l’utilisent encore pour décourager le spam.
Mais là où ça me fait franchement rigoler, c’est quand je m’aperçois que Twitter met du nofollow à tout-va… Mais que pensent-ils donc décourager ?.. Enfin, j’espère que le rachat de Jaiku par Google, va pousser les développeurs de Twitter à supprimer le nofollow pour se venger… ^_^v
Après Text-Link-Ads, LinkLift propose l’achat et la vente de liens sur les blogs. Et Google n’a pas l’air d’apprécier. Il faut dire que ce que ces sociétés vendent à leurs acheteurs de liens, c’est du PageRank en barre ! Et le PageRank, comme chacun sait, appartient à Google qui voit d’un mauvais oeil des sociétés concurrentes à son programe AdSense tirer les marrons du feu en profitant de son outil de confiance. Un formulaire est même disponible si l’on est témoin d’un achat ou d’une vente de liens à la sauvette. Ca fout les jetons. →
Chapeau Blanc : je te le dis tout net : faire la tournée des moteurs de recherche et des annuaires de liens pour lâcher une url et une description n’est pas ce qui se fait de mieux pour référencer un site (ou un blog, d’ailleurs). Et encore moins pour le positionner sur un ou plusieurs mots-clés. Dans le meilleur des cas, tu obtiendras 400 liens d’une qualité douteuse. Et puis de toute manière personne ne lit les annuaires de liens… →
Tout droit sorti de l’historique de mon Firefox toujours vaillant malgré la pression d’Opéra, et de mon fichier OPML installé pour l’instant chez Google Reader, voici un petit mix de derrière les fagots pour alimenter votre barre d’adresse ce week-end. →
Les plus assidus se souviennent peut-être de ma participation au concours de positionnement organisé par concours-seo en septembre dernier dont l’objectif était de placer le terme loupanthère sur le moteur de recherche Exalead lancé en octobre 2006 auprès du grand public.
Tous les quatre mois environ, Google met de l’ordre dans ses affaires et met à jour ses différents DataCenter. Il en profite aussi pour distribuer les bons ou les mauvais points sous la forme d’une petite barre verte visible dans la Google Toolbar si vous avez activé l’option idoine. Après environ huit mois d’existence, mon blog a donc connu deux de ces Google Dance. Le terme fait référence à la mise-à-jour des DataCenter durant laquelle le PageRank d’une page s’agite beaucoup (d’où le Dance de Google Dance).
Au début, une manipulation hasardeuse : j’ai appuyé un peu trop vite sur Enter après avoir saisi la lettre a dans Google. Intrigué par la présence du site Le Monde en première position, j’ai voulu connaître le sort réservé aux autres lettres de l’alphabet. De prime abord, les résultats semblent suggérer que Google dispatch les pages selon des catégories thématiques comme je l’ai évoqué dans le billet Mesure d’audience : des mots-clefs au ClickRank. Avant que vous ne me le demandiez, j’ai fait ma petite enquête en notant quelques informations pour chaque série de résultats : →
Pour savoir pourquoi et comment vous lisez mon blog, j’ai installé quatre scripts de mesure d’audience : Google Analytics, phpMyVisites, MyBlogLog et HitTail. Sans compter Webalizer… Ce billet est découpé en deux parties qui devaient faire chacune l’objet d’un article séparé. Or, les statistiques fournies par les outils présentés dans la partie Quatre outils de mesure d’audience sont utiles parce qu’elles fournissent des éléments objectifs et quantifiables pour faire évoluer un site : améliorer le design ou encore réorganiser les rubriques. Dans une optique de positionnement dans l’index de Google, les stats peuvent également contribuer à optimiser ce qui fait l’intérêt d’un site : son contenu. Attention à la longueur du billet qui pourrait heurter la sensibilité des plus jeunes ! →
Cette formule est au cœur de l’algorithme du classement des pages web par Google et sert de base pour l’attribution du PageRank. Moi qui pensais que le PR n’était que l’addition des liens qui pointaient d’une page A vers une page B… →
