Dans WordPress, les marqueurs de modèle (tags) permettent de personnaliser le contexte en affichant le titre de l’article, l’auteur, la date de publication, la catégorie, les tags, les descriptions, etc. Toutefois, l’intégrateur WordPress a parfois besoin d’ajouter des chaines de caractères qui ne sont pas prévues dans le modèle de données. Il peut s’agir d’un en-tête de section, d’un châpo, ou de tout autre élément sorti de votre imagination.
Les solutions ne manquent pas :
- Chaines en dur dans le code,
- Champs personnalisés,
- Variables modifiables via un fichier de configuration ou une page d’administration personnalisée,
- Fonctions d’internationalisation.
Dans le cadre de WordPress Basics, c’est cette dernière solution que j’ai mise en oeuvre :
<header> <hgroup> <h1 class="section-title"><?php _e( 'Do you want to know more?', 'basics' ); ?></h1> <h2 class="section-description"><?php _e( 'Find here all the latest news about Basics', 'basics' ); ?></h2> </hgroup> </header>
Ces fonctions d’internationalisation ne sont pas réservées pour traduire des textes d’une langue vers une autre ; on peut très bien les utiliser pour adapter des chaines de caractère génériques. Pour modifier ces chaines de caractère, il suffira de les traduire grâce à Poedit.
D’après l’article Avoid variables, create strings: they will return the favor paru initialement sur WordPress Basics.
Je partage totalement ton point de vue concernant l’utilisation des fonctions d’internationalisation dans les thèmes WordPress car cela facilite énormément la portabilité et la traduction d’un blog en plusieurs langues avec des fichiers .po / .mo
Le tout combiné avec le plugin Qtranslate permet de créer facilement (enfin en y passant quand même un peu de temps pour tout traduire… Google translate est ton ami, hein !) un blog multilingue.