Le Graphisme au XXe siècle est la traduction française de Graphic Design (A Concise History) écrit par Richard Hollis et publié en 1994. Ce livre est une mine d’or pour pour qui veut connaitre l’histoire du Graphisme à travers les pays qui lui ont donné ses lettres de noblesse : le futurisme et l’Italie, la Russie soviétique, l’Allemagne, les Pays-Bas, la Suisse, la France, la Grande-Bretagne, les Etats-Unis, l’Europe du Nord. Il contient plus de 800 illustrations et le texte est très riche. Je lis généralement en prenant des notes pour plus tard ou en surlignant les passages qui me plaisent au Stabilo. Ce billet est la compilation des extraits qui ont plus particulièrement suscité mon intérêt. Ils ne suivent pas forcément l’ordre des pages et certains passages ont été remaniés afin de rester compréhensibles une fois sortis de leur contexte.
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40 310 fans sur Facebook en quatre jours
Lorsque All facebook a pris le contrôle du compte Facebook de Weekly world News, elle comptait 3 244 fans. Quatre jours plus tard, plus de 40 000 fans se bousculaient au portillon. All Facebook explique pas à pas comment ils sont parvenu à multiplier par 10 le nombre de fans : →
De l’importance du storytelling
Seth Godin avait tout compris dans son livre All marketers are liars : Une belle histoire est un levier de transformation très puissant. Quand je regarde le travail effectué sur des boutiques comme Saddleback Leather (et notamment sur le blog du patron) je me dis que cela peut être une alternative viable aux mots-clés, du moins sur le moyen et le long terme.
Guide stylistique — Exemple de charte graphique et éditoriale
Lorsqu’on réalise le design d’un site web, il est d’usage de formaliser les choix créatifs retenus en répertoriant les éléments qui composent l’identité graphique et éditoriale dans un guide stylistique. Son objectif est de garantir à l’utilisateur final une expérience visuelle et intellectuelle cohérente tout au long de la navigation. Ce guide stylistique s’adresse généralement aux professionnels chargés de la réalisation technique du site (développeurs, intégrateurs web, etc.) et à ceux qui devront intégrer les contenus au quotidien, qu’il s’agisse des textes et de tout élément graphique ou multimedia. Il peut également préciser les valeurs de la marque et son positionnement vis-à-vis de ses concurrents. C’est dire l’importance de ce guide qui servira souvent de référence dans l’entreprise. →
Bloguer plus pour gagner plus ou écrire à compte d’auteur ?
A force de lire tout et n’importe quoi sur la monétisation des blogs, de la rémunération des blogueurs ou sur le fait que tout travail mérite salaire, je me suis demandé ce que le blogging avait de si spécial qu’il faille sans cesse se justifier pour placer une publicité par-ci ou écrire un billet sponsorisé par-là, alors que personne ne trouve à redire à propos des publi-rédactionnels qui envahissent nos magazines papier… Mais chaque chose en son temps : au fait, c’est quoi déjà un blog ? →
13 outils pour l’intégrateur web
Comme tous les travailleurs, l’intégrateur HTML & CSS a ses petites habitudes et une boite à outils bien remplie. Depuis longtemps, j’utilise les bookmarks en ligne. Mais si je bookmark régulièrement les liens qui m’intéressent, la recherche d’information dans ces services est souvent moins efficace que le lancement d’une recherche dans Google ! Et comme il peut être utile d’avoir certaines ressources à portée de souris, un billet est un pense-bête comme un autre. Magneto : →
Des blogs profilés comme des bêtes de courses ?
A lire les nombreux conseils prodigués sur Monétiweb, on pourrait penser que l’ergonomie est aux blogs ce que l’aérodynamisme est à l’automobile : un moyen d’aller plus vite sans gaspiller trop de ressources. C’est séduisant mais rappelons-nous qu’aux débuts de l’aventure automobile, la forme des véhicules n’avait que l’imagination des créateurs comme limite… Les blogs vont-ils tous se ressembler pour offrir le moins de résistance au clic sponsorisé et s’adapter au plus petit dénominateur commun ? →
Chauffeur de Buzz partenaire du groupe Lagardère
La nouvelle vient de tomber de la plume même d’Otto, le Chauffeur de Buzz : Il s’agit premièrement d’un accord publicitaire avec la prise en régie du blog. Toutes les publicités de Chauffeur De Buzz seront confiées à la régie Lagardère Publicité. L’objectif dans un second temps sera de décliner notre approche éditoriale sur les différents supports du groupe notamment off line (presse, tv, radio…)
Otto précise – au cas où certains se poseraient des questions – que le groupe Lagardère a compris que Chauffeur De Buzz était un blog. Je conserve une totale liberté et reste le seul rédacteur du blog.
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Cette annonce me fait doublement plaisir : elle montre qu’un blog tenu par une seule personne peut dépasser la simple monétisation et Otto est vraiment un blogueur sympathique. En espérant que Lagardère lui laisse un peu de temps pour (re)venir à Lyon 😉
La différence entre un blog et un journal ? 9€/mois…
Comme quoi, c’est bien la peine de se prendre la tête avec toutes ces histoires de billets sponsorisés, d’appels aux dons PayPal et autre affichage de publicités plus ou moins contextuelles, alors qu’il suffisait de demander aux lecteurs de s’abonner au contenu. J’ai presque honte de ne pas y avoir pensé avant MediaPart…
Reste à évaluer le prix de mon indépendance 😀
Bloguer plus pour gagner plus ou écrire à compte d’auteur ?
A force de lire tout et n’importe quoi sur la monétisation des blogs, de la rémunération des blogueurs ou sur le fait que tout travail mérite salaire, je me suis demandé ce que le blogging avait de si spécial qu’il faille sans cesse se justifier de placer de la publicité par-çi ou d’écrire un billet sponsorisé par-là, alors que personne ne trouve à redire à propos des publi-rédactionnels qui envahissent nos magazines papier… Mais chaque chose en son temps : au fait, c’est quoi déjà un blog ? →