Est-il vraiment sérieux de la part des entreprises d’embaucher des créatifs qui ignorent les conditions de post-production de leurs délires créatifs ? C’est la question que je me suis posée en lisant cet échange hallucinant. Prenez le temps, c’est du lourd(ingue) ^__^ En gros, un DA (pour Direction Artistique) s’indigne des conditions dans lesquelles son oeuvre est découpée (massacrée) par les intégrateurs. Je me souviens que ce genre de discours étaient récurrents il y a déjà une quinzaine d’années dans le domaine du print (on disait PAO à l’époque). Les DA se plaignaient déjà beaucoup : →
Le créatif peut-il être indépendant du périphérique de sortie ?
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