L’outil Plume est certainement un des outils emblématiques d’Illustrator. Ce n’est pas le plus simple à maîtriser, mais avec un peu d’habitude, d’astuce et d’espièglerie on parvient généralement à s’en sortir. Une fois qu’on a pris le coup de main, les courbes de Bézier sont un vrai plaisir. Toutefois, s’il y a une chose sur laquelle on peut hésiter même après des années de pratique, c’est bien le placement des points d’ancrage. Dans la suite de cet article, nous allons voir la méthode de travail du studio The AGSC qui va nous aider à choisir l’emplacement optimal des points d’ancrage dans Illustrator. →
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Modes de fusion Illustrator — et Photoshop
Les modes de fusion sont un incontournable d’une grande partie de la suite Adobe, qu’il s’agisse d’Illustrator, de Photoshop, d’InDesign, d’After Effects ou encore de Première Pro (avec quelques différences plus ou moins importantes selon les logiciels). Ces modes de fusion ont la particularité de permettre le mélange des pixels d’un calque auquel on applique le mode de fusion avec ceux du calque situés en-dessous. Notez qu’il est possible d’appliquer un mode de fusion identique ou différent à plusieurs calques situés les uns sous les autres. →
Ressources Photoshop (et Illustrator)
Après plusieurs années où je me suis plutôt consacré à l’intégration HTML & CSS, je reviens à mes logiciels préférés, Photoshop et Illustrator que je compte suivre de près. Voici donc quelques ressources qui ont retenu mon attention et que je vous invite à parcourir et à garder sous le tapis de souris. Au menu : gestion des couleurs et profils colorimétriques dans Photoshop ; palettes de couleurs dans Illustrator et différentes techniques de retouche photo. →
Et si Photoshop permettait de tester des maquettes fluides ?
Si c’était possible techniquement, est-ce qu’on s’amuserait à faire des rendus différents pour le plaisir ? Réponse : NON.
Cette interrogation de @mariejulien suite à la publication de l’article Les sites web doivent-ils s’afficher exactement de la même manière dans chaque navigateur ? et cette réponse lapidaire se poursuivent par la réflexion suivante : la norme est donc bien d’avoir un contenu identique, et le reste n’est qu’argument fallacieux à une impossibilité technique.
Question à laquelle j’ai répondu en bottant un peu en touche en disant que le monde de l’imprimé et du web ne répondaient pas aux même lois de la physique. →
WordPress je thème
Malgré ce que je pense d’une manière générale des licences alternatives au droit d’auteur français utilisées n’importe comment pour tout et n’importe quoi, j’ai ressenti ponctuellement le besoin de mettre quelque chose dans le domaine public. Il s’agit d’un logo basé sur le « W » de WordPress qui s’inscrit à l’intérieur d’un cœur. Chacun-e pourra s’en servir pour les raisons qui lui sont propres. Vous trouverez dans cet articles la petite histoire de ce logo, ainsi que des liens de téléchargement et des conseils techniques pour l’adapter à vos besoins. →
Calculer une grille de mise en page « typo » avec le nombre d’Or
Le calcul d’une grille de mise en page modulaire avec le nombre d’Or est une bonne occasion pour mettre en pratique le manifeste pour un interlignage minimum syndical et les cinq règles pour améliorer l’affichage de vos textes. L’objectif est de déterminer une taille de police de caractère et une largeur de colonnes d’après un interlignage «idéal». Après l’aperçu d’une méthode pour créer des gabarits destinés à l’imprimé, j’expliquerai comment utiliser l’interlignage pour concevoir des grilles adaptées à une résolution inférieure ou égale à 1 024 pixels de large. J’ai choisi un interlignage compatible avec le ratio du nombre d’Or typographique (1,5) et du nombre d’Or Classique (1,618). Toutefois, le concept de cette grille fonctionne très bien avec d’autres valeurs. J’ai mis des exemples de grilles réalisées avec Illustrator sous la forme d’un GIF animé (désolé). →
#WDFR — Imprimez votre grille pour dessiner vos croquis
Le dernier thème du WDFriday (#wdfr sur Twitter) était consacré aux croquis, maquettes et autres fils de fer (Wireframe) qui précèdent souvent le travail sur un logiciel de création comme Illustrator ou Photoshop. J’ai toujours un petit calepin à carreaux de 5 mm de côtés pour prendre des notes graphiques. Comme j’utilise une grille dans Illustrator bien au chaud dans un calque « grille » verrouillé, je me suis dit qu’il serait intéressant de l’imprimer en plusieurs exemplaires pour m’en servir de support. Pour les croquis, je me contente d’imprimer cette grille à 50% de sa taille réelle pour ne pas gâcher inutilement l’encre et le papier (petit geste écolo). Je réserve l’impression en taille réelle pour les maquettes grandeur nature (Mockup) sur lesquelles je peux utiliser des post-it pour placer et déplacer mes éléments à volonté. →
Webdesigner est-il ?
Je reviens vers vous une nouvelle fois sur le sujet du webdesign pour dissiper les malentendus qui semblent s’être glissés dans mes derniers articles. En résumé, j’aurais tendance à dénigrer le métier de webdesigner en mettant en avant des techniques et des méthodes de travail permettant de travailler directement dans le navigateur avec les possibilités chatoyantes de CSS3, sans utiliser les logiciels de création consacrés comme Photoshop et Illustrator ou Gimp et Inkscape. Le titre est court mais l’article l’est beaucoup moins pour remettre les «pendules à l’heure». →
Une très brève histoire des métiers du web et de la PAO (publication assistée par ordinateur)
Lorsque j’ai publié mon dernier billet sur le design dans le navigateur avec HTML5 et CSS3, je m’attendais à des commentaires sur mon interprétation du rôle et de l’utilisation des nouvelles balises HTML5 pour structurer les contenus telles que `header`, `hgroup`, `section`, `aside`, `nav`, `article` ou `footer`. A la place, j’ai vu apparaitre une discussion plutôt orientée « graphistes vs. intégrateurs » web au sens large, qui m’a donné envie de faire un retour en arrière sur mon expérience des métiers de la chaine graphique et des métiers du web. →
Quelques notes sur la conception de mon picto fétiche
Après B, j’ai très vite changé d’orientation graphique pour ma communication personnelle pour un picto plus sobre. Il s’agit encore d’un travail réalisé à l’aide d’Illustrator. L’idée principale : réaliser une mascotte évoquant des petits cosmonautes pour explorer les vastes territoires graphiques qui m’étaient inconnus à l’époque (le fait que je me serve toujours de ce trio, montre bien que j’en découvre encore tous les jours). La contrainte : rester simple. Comme d’habitude vous trouverez quelques esquisses d’époque suivies de la version finale. →